Archives de catégorie : Voyage

Dunes de Sainte Marguerite

Un post à la gloire de la Bretagne pour le non breton que je suis (mais breton de cœur maintenant), on est au bout du monde, on n’a jamais très chaud, on n’a jamais très froid, on ne souffre pas vraiment de la sécheresse (doux euphémisme), mais qu’est-ce que c’est beau ! Et pourtant j’ai connu du lourd en Polynésie ou bien dans d’autres endroits enchanteurs et non moins paradisiaques.

Les dunes de Sainte Marguerite se situe sur la commune de Landéda dans le nord Finistère, le paysage change considérablement en fonction de la marée, des conditions de mer et de vent, le spectacle est différent à chaque fois. Aujourd’hui il y avait un beau soleil, même si les températures ne se prêtent pas encore au mouillage d’orteil et marée basse avec un coefficient moyen et on tombe sur ça :

C’est un panoramique, vous pouvez cliquer dessus pour avoir l’image en grande dimension. L’avantage avec la marée basse est qu’on accéder à des îles à pied, il faut juste bien choisir son moment pour ne pas rester coincé et attendre la prochaine marée basse, ce qui serait assurément ballot. Cette vue a été prise de l’île Tariec Bras, on y voit en face l’île de Tariec Bihan.

Continuer la lecture de Dunes de Sainte Marguerite

Ile de Pâques grandeur et décadence

Je regarde de temps à autre l’excellente série sur Arte « enquêtes archéologiques ». On suit les pérégrinations de l’archéologue belge Peter Eeckhout qui, à chaque épisode, se focalise sur un site et présente de manière très accessible les dernières recherches en date sur le dit site entouré des meilleurs spécialistes et experts. On passe aussi bien du mystère des géoglyphes de Nazca à la cité légendaire de Troie.

Récemment il a abordé le sujet de l’île de Pâques sur laquelle j’ai eu la chance de m’y rendre il y a quelques années.

Ahu de Nau Nau

Les dernières recherches initiées par le chercheur belge Nicolas Cauwe marquent un tournant car elles chamboulent complètement la vision qu’on avait de l’effondrement de la civilisation pascuane.

Jusqu’à présent les historiens ont privilégié l’hypothèse du suicide écologique et collectif. En gros, les tribus de l’île se sont lancées dans une production immodérée de moaï (les fameuses statues de l’île) à qui elles vouaient un culte.  Elles les acheminaient sur des rondins, et le bois était également utilisé pour les ériger. Associé à leur utilisation pour l’habitat et les feux de cuisson, cela a entraîné une déforestation, un épuisement des ressources, une révolte des tribus contre les moaï qui ont été jetés à terre, l’abandon brutal de la carrière des moaï sur le volcan Rano Raraku, des guerres fratricides entre tribus et la famine.

Continuer la lecture de Ile de Pâques grandeur et décadence

Photothèque

Je signale la présence sur ce blog d’une photothèque (dans le menu en haut à droite). On y trouve un peu de tout, ce sont des photos que j’ai pu prendre ici et ailleurs lors de voyages, déplacements d’agréments ou professionnels. Depuis quelques années j’utilise un Nikon Coolpix p510, certes ce n’est pas un reflex mais c’est un bridge suffisamment performant pour des photos correctes. Niveau traitement photo, je me contente sous gimp (évidemment) de jouer au cas par cas avec la balance des blancs et/ou la luminosité/contraste. Au final, je vous laisse juger par vous même de leur qualité. A noter qu’à partir du menu contextuel (accessible à partir du bouton droit de la souris) vous pouvez afficher les photos en plein définition.

Pour vous donner l’envie de parcourir la photothèque, en voici un petit échantillon commenté dans leur contexte.

J’ai pris cette photo au Maroc dans le souk de la ville de Fes devant l’étale du boucher, on remarquera bien entendu la tête de dromadaire qui était tout sauf factice ! Je ne sais pas si  ça contribue à attirer le client en tout ça a attiré mon objectif (et les mouches…).

Un caméléon sur l’île de la  Réunion appelé localement endormi, un animal plutôt commun, mais toujours difficile à repérer. A propos de la Réunion, pour les randonneurs je signale par ici la présence de pages qui décrivent quelques randonnées incontournables (dont les ascensions du piton des neiges et du volcan du piton de la fournaise).

Le geyser de Strokkur en Islande qui se situe juste à côté du geyser de Geysir qui a donné son nom à ce phénomène physique impressionnant. Ce dernier est plus moins inactif maintenant alors que celui de Strokkur est le plus actif d’Islande, il jaillit toutes les 10min à peu près. Le bonhomme sur la photo donne une idée de sa hauteur, ce jour là il n’y avait pas de vent, par contre les jours avec vent (le plus souvent !), il faut se situer du bon côté pour pas se retrouver trempé jusqu’aux os ! En plus de cela l’eau est bouillante !

En plus des voyages, pour les amateurs de belle mécanique volante, j’ai une série de photos de warbirds et d’appareils plus récents dans le coin du spotter. Ici le Douglas AD-4NA Skyraider immatriculé F-AZDQ sur la piste de l’aéroport militaire de l’ALAT au Cannet des Maures dans le centre Var.

De l’autre côté de l’Atlantique, un Grumman F14 Tomcat à côté d’un Vought F8 Crusader sur le pont du porte avions USS CV10 Yorktown face à Charleston devenu musée flottant. Le Yorktown qui a participé à la seconde guerre mondiale est le deuxième du nom, le premier du nom, le CV5 Yorktown a été coulé pendant la bataille de Midway. Sur la photo on distingue sur l’îlot le fort Sumter, c’est exactement à cet endroit que les premiers coups de canon de la guerre de sécession ont été tirés en avril 1861.

Plus prés de nous, la France métropolitaine n’est pas en reste. Lors des fêtes maritimes de Brest 2016, le Nao Victoria devant le phare de la pointe Saint Mathieu à l’orée du goulet de Brest. Ce bateau est une reconstitution de celui de Magellan qui a réalisé le premier tour du monde (à la voile forcément) de 1518 à 1522. Dans le lointain, on peut apercevoir l’ile de Béniguet avec ses plages de sable blanc.

Nous ne sommes pas en Afrique, mais bien en France dans son plus grand zoo, le zooparc de Beauval où ces rhinocéros piquent un roupillon.

Ce magnifique piano de cuisson, qui donne vraiment envie de cuisiner, se trouve dans les cuisines du château de Chenonceau.

La suite par !

Randonnée senda del Cares dans les montagnes Picos de Europa

Dernièrement dans un post pour me plaindre des piètres performances de mon GPS TomTom j’avais évoqué un séjour estival en Espagne et en Portugal qui ferait l’objet de plusieurs articles. Voici donc le premier article qui a pour thème une randonnée dans le massif montagneux Picos de Europa tout au nord de l’Espagne et qui couvrent trois provinces, la Cantabrie, le León et les Asturies. Ce massif montagneux, aussi appelé cordillère Cantabrique,  longe la mer à à peine une trentaine de kilomètres et culmine à 2648m d’altitude. La région étant plutôt arrosée, les paysages verts, boisés et montagneux font douter un moment que l’on se trouve en Espagne !

Dans ce massif, on trouve donc le sentier du Cares qui surplombe la rivière Cares et longe un canal toujours actif construit au début du XXeme siècle. Ce canal a la particularité d’être enterré sur une grande partie de sa longueur. La randonnée sur ce sentier est l’une des plus réputées de la région, le chemin est étroit, très étroit même parfois, avec des falaises et des à pics vertigineux. Voilà une courte vidéo avec quelques vues prises avec ma GoPro qui donnent une assez bonne idée du côté spectaculaire de cette randonnée.

C’est une randonnée pas bien difficile pour un randonneur expérimenté, longue de 12 km aller-retour, elle est donnée pour 6 à 8h de marche au total. Mon GPS m’indique que la randonnée a duré au total 7h24 dont seulement 4h15 en marchant au pas de course ! Bien qu’on soit entouré d’eau avec la rivière qui coule en contrebas et l’eau du canal, il y a assez peu d’opportunités d’en profiter, le paysage est quand même globalement sec et peu boisé avec donc peu d’ombre, il vaut mieux partir bien chargé en eau.

2016-08-01-trace-gps-senda-del-caresLa trace GPS au format gpx peut être téléchargée ici. Le petit inconvénient de la randonnée est que ce n’est pas un boucle, il faudra revenir sur ses pas au retour. Il y a donc 2 alternatives de départ pour cette randonnée, mais le mieux est certainement de partir de Poncebos pour arriver à Caín. En effet on commence ainsi par le plus dur par une belle ascension avec un terrain assez cassant, puis ensuite c’est vraiment du gâteau avec une pente, puis sur les 2/3 c’est quasiment le même niveau. Les passages les plus spectaculaires avec le sentier creusé dans la roche sont en fin de randonnée.

Continuer la lecture de Randonnée senda del Cares dans les montagnes Picos de Europa

Les journées du patrimoine 2015 à la pointe finistère

Un temps magnifique inespéré pour ces journées du patrimoine 2015, il était hors de question de s’enfermer dans un musée. Nous avons tenté notre chance vers Plougonvelin pour aller voir le poste de tir de Keromnes, c’est un énorme bunker, construit par les allemands pendant la seconde guerre mondiale, qui commandait les tirs d’un ensemble de bunkers situés tout le long du goulet de Brest. Malheureusement bien qu’étant ouvert en 2014, il ne l’était pas cette année, un peu déçus on s’est rabattus sur le sempiternel phare de la pointe Saint Mathieu avec une petite grimpette pour atteindre son sommet, l’endroit reste magique surtout sous le soleil.

On a enchaîné sur le fort de Bertheaume, à partir de lequel on avait cette magnifique vue de l’anse du Trez Hir.

Pour terminer aujourd’hui, le soleil étant toujours de la partie on a profité des portes ouvertes du parc naturel marin de l’iroise au Conquet qui dépend de l’agence des aires marines protégées. Pour l’occasion un bateau de la Pen Ar Bed avait été affrété pour faire un petit tour dans l’archipel de Molène autour de l’île de Béniguet à la découverte des îles et de sa faune et tout cela gratuitement. Nous n’avons pas été déçus, nous sommes tombés sur un banc d’une vingtaine d’individus de grands dauphins tursiops, les mêmes qu’on peut voir du côté de la passe de Tiputa à Rangiroa en Polynésie Française. Ce sont des bestiaux qui font dans les 3, 4m, plutôt impressionnant. Il me manque juste le reflex pour pouvoir immortaliser tout ça. Par contre les phoques gris, qui se prélassaient au soleil, se sont laissés volontiers prendre en photo.

Pour le reste de la galerie photo, c’est par ici.

Char à voile en Camargue

Lors de mon récent séjour en Camargue j’ai eu l’occasion de faire du char à voile, je ne m’attendais pas du tout à pouvoir en faire en Méditerranée avec la foule et l’exiguïté des plages. Mais du côté de la Camargue, il y a des dizaines de kilomètres de plages immenses et totalement désertes avec du sable bien damé, puisqu’on pouvait y aller en vélo, du soleil et du vent régulier, bref l’idéal pour le char à voile. Nous avons loué les chars auprès de SNAP (Sport Nature Attitude Project) qui louait son matériel à l’extrémité du chemin accessible en voiture en partant vers l’est de Saintes Maries de la mer.

L’apprentissage a été on ne peut plus rapide vu qu’on a déjà les réflexes de la voile, en gros il suffit de savoir choquer (ouvrir la voile) dès que la roue au vent décolle un peu trop et border (fermer la voile) dès qu’on veut prendre de la vitesse. Dès les premières minutes, on s’éclatait en tirant des bords et en prenant des virages en empannant en faisant déraper les roues, fun !

J’ai fixé la GoPro à l’extrémité de la bôme, je l’ai laissée dans son caisson et j’ai rencontré des soucis de buée, ça se voit quelque peu dans la vidéo. Cela dit pas de regret car un moment je suis passé dans une mare d’eau dans laquelle je me suis fait copieusement asperger. Mine de rien en 1h30 on a parcourus plus de 32km avec une bonne pointe de vitesse à 40km/h, quand on est au raz du sol sur du sable, c’est très impressionnant et hautement joussif.tracegps-char-a-voile

Je vais me souvenir longtemps de cette séance, car au bout d’1h30, j’avais la peau à vif au niveau des points de contact du dos avec l’assise du char. Un petit coussin aurait été le bienvenu, c’est assez galère maintenant à cicatriser.

VTT en camargue

De retour de vacances où j’ai passé notamment une semaine en Camargue, précisément aux Saintes Maries de la mer. Connaissant bien la région, j’ai quand même été surpris d’y découvrir des plages immenses totalement désertes dès lors qu’on se donne la peine de parcourir quelques kilomètres, on ne s’attend pas  vraiment à trouver ça sur la côte Méditerranéenne, surtout à cette saison. J’avais embarqué les vélos, c’était notre moyen de locomotion pour s’éloigner.

A cette occasion, voilà ma dernière vidéo.

J’ai suivi la digue qui longe la mer et qui sépare la plage de l’étang et de la réserve naturelle jusqu’au phare de la Gacholle à 13km au départ de Saintes Maries de la mer. C’est tout plat et très roulant, il est assez facile de tenir une moyenne de 25-30km/h surtout le matin à la fraîche quand il n’y a personne. A cette heure c’est assez sympa quand on peut voir les oiseaux encore bien présents et qui ne sont pas éloignés du fait de l’agitation touristique. Un détour par la plage s’imposait, même si c’est plus physique, c’est jouable et quasi incontournable.

Pour la vidéo, c’est filmé avec ma GoPro HD4 Black avec trois positions, l’une sur la poitrine, l’autre au bout de la perche, et une dernière statique posée à terre. La caméra n’était pas dans son caisson étanche pour éviter les problèmes de buées, enregistrement à 120 images par seconde. Les séquences vidéo d’ambiance du début sont filmées avec mon Nikon coolpix P510.

Galerie photos Portugal

Je viens de créer une galerie photo du Portugal avec en point d’orgue la magnifique ville de Lisbonne, c’est une capitale à taille humaine où il fait bon vivre (du moins quand on est touriste !), on peut respirer à grand poumon sans risquer de s’intoxiquer et les habitants prennent le temps de vivre, si Paris pouvait être du même acabit, on serait moins réticent à vouloir y travailler …

tramway rouge touristique

Le Portugal ne se limite pas à sa partie continentale, comme la France, il lui reste des miettes de son empire dont les archipels des Açores et de Madère. Pour le premier je suis allé du côté de São Miguel qui est la plus grande île de l’archipel avec le bourg de Ponta Delgada qui fait office de capitale administrative. Le moins qu’on puisse dire est que l’île est bien arrosée et ça se voit, c’est bien vert, les températures restent très agréables tout au long de l’année sans aller dans les excès. C’est une île où l’activité volcanique est encore bien présente et ça se voit dans le relief. C’est un paradis pour cyclistes et randonneurs.

Sur la route de Capelas

Pour terminer l‘île de Madère qui est la plus grande des îles de l’archipel avec sa capitale administrative Funchal.

Marché couvert de Funchal

Galerie photos Barcelone

J’ai mis en ligne une galerie photos de la ville de Barcelone en Espagne, c’est assurément une magnifique ville tout en couleur, riche en architecture audacieuse et pleine de vie. L’architecte Antoni Gaudí a marqué cette ville avec ses constructions atypiques, démesurées, d’un gothisme exacerbé et qui est resté spécifique à cette ville. La basilique Sagrada Família est le plus bel exemple de l’excentrisme  de son créateur, commencée en 1881, elle est toujours en construction et ne doit être achevée qu’en 2026 !

La vie nocturne particulièrement l’été comblera aussi bien les fêtards que les simples promeneurs adeptes de beau spectacle.

Côté pratique on a logé dans une maison d’hôte excellemment bien placée au cœur de la vieille ville, l’Arthostal. C’est une maison de ville du 18eme siècle, très bien aménagée avec tout le confort moderne. On partage la maison avec d’autres hôtes et la cuisine est partagée, il vaut donc mieux bien s’entendre, il y a donc une part de chance. Au moment de notre location, nous sommes tombés sur des jeunes qui ne vivaient que la nuit, c’est nous qui étions bruyants le matin ! Pour la voiture elle est restée bloquée dans le parking souterrain de PR Biomedia proche du centre ville et pas bien loin de la plage pendant une semaine pour moins de 40€ ce qui est tout à fait raisonnable. On se déplace ensuite avec un pass metro.

 

Attaques de requins à la réunion : l’enquête

Excellent reportage hier soir sur Arte de Rémy Tézier sur ce qu’on surnomme « la crise requins » à la Réunion. Il dresse un état des lieux de la situation et tente de trouver les causes de l’augmentation spectaculaire ces dernières années des attaques de requins à la Réunion qui fait que cette île est devenue l’endroit au monde où le risque d’attaques de requins est le plus fort. Objectif, pas de partis pris, les différents acteurs sont interviewés, surfeurs, politiques, scientifiques, pêcheurs sans que le journaliste pointe un coupable particulier pour un phénomène qui a sûrement des causes multiples et l’homme et son activité n’y est sûrement pas étranger. Le reportage vaut également pour les témoignages poignants de deux survivants d’attaque qui se retrouvent maintenant mutilés en étant passés à deux doigts de la mort. Le reportage est visible par ici en replay.

Lors de mes dernières vacances à la Réunion l’été dernier, j’ai été attristé de voir l’ensemble des surfshops le long du front de mer fermés, désaffectés, les plages désertées alors que des superbes rouleaux déroulent longuement. C’est une calamité pour l’économie locale et notamment celle tournée vers la mer, les restaurateurs et hôteliers en souffrent également. Physiquement ce ne sont pas les seuls surfeurs qui sont touchés, lors de notre séjour une fille s’est fait attaquée à quelques mètres du bord alors qu’elle avait pied ! Et dire que je me suis baigné et que j’ai fait du bodyboard dans la plupart des sites qui ont subi des attaques, dont Boucan Canot, les Roches Noires et la superbe vague de Saint Leu (réputée pour être la plus belle de l’océan Indien). Je me suis bien gardé cette fois-ci de me baigner en dehors du lagon. Avec les centaines de requins de toutes les espèces que j’ai pu voir en plongée et en apnée en Polynésie et ailleurs, bien plus gros que ceux de la Réunion, on peut s’étonner d’une telle agressivité et opportunité pour des requins dont « traditionnellement » l’homme n’est pas le met préféré. Le plus triste dans cette histoire et que ça a créé des clivages dans l’île entre les réunionnais de souche et tous les métropolitains qui s’y sont installés et qui ont amené avec eux la culture de la mer et des sports nautiques qui n’est pas intrinsèquement dans la culture réunionnaise très tournée vers la terre.

Requin pointe blanche de récif qui me tourne le dos à Rangiroa

Ce reportage n’a pas beaucoup plu à la Réunion, forcément ce n’est pas bon pour le tourisme, mais fort heureusement l’île a bien d’autres attraits et notamment l’intérieur de l’île montagneux et sauvage magnifique, c’est le paradis de la randonnée et du canyoning.

Quelques liens sur ce blog sur les randonnées de la Réunion pour vous donnez néanmoins envie :