je suis passé à la dernière version de kdenlive, ça ne s’est pas fait sans mal car il faut passer à KF6, or pour cela pour ma Mageia il faut que je passe à la version Cauldron, version instable qui préfigure la Mageia 10.
Cela ne s’est pas fait sans mal, j’ai suivi les indications qui sont indiquées sur le wiki mais il y a plein de conflits à gérer en supprimant manuellement les packages de la Mageia 9 et relancer x fois la commande urpmi –auto-update –auto.
J’ai dû faire face à la non compilation du module propriétaire nvidia lié au fichier conftest.sh. Pour le résoudre j’ai édité le fichier /usr/src/nvidia470-470.256.02-1.mga10.nonfree/conftest.sh et j’ai rajouté une ligne comme ceci
On veille à ce qu’il y ait bien nvidia dans le fichier /etc/X11/xorg.conf et on reboot.
Pour en revenir à kdenlive, la page d’installation avec la version 7.28 de mlt et kdenlive 24.08.1 est à jour. Et à ce jour, je n’ai pas pris le temps d’évaluer les nouvelles fonctionnalités.
Mon flotteur JP Young Gun de 70l a cédé lors de mes dernières sessions, il y a une énorme fissure qui s’est créée sur le côté entre les deux footstraps. J’ai bien tenté de la réparer avec de la résine époxy et des feuilles de fibre composite mais ça n’a pas tenu lors de ma dernière session. Mes réparations se sont décollées, mon flotteur vibrait et avait un comportement plus que bizarre, je m’attendais qu’au moindre saut il se casse en deux.
Finalement il a tenu, mais il était grand temps de le changer. Je l’avais acheté en 2015 pour la modeste somme de 100€, c’était déjà un flotteur un peu dépassé vu qu’il était sorti en 2006 et les multi fins commençaient largement à s’imposer.
Comme je n’avais pas envie de mettre 2000€ dans un flotteur neuf, j’ai scruté le boncoin et les occasions dans les shops finalement j’ai trouvé mon bonheur chez Funway sur La Garde à côté de Toulon, avec un flotteur Tabou Pocket Vintage de 69l de 2017. Il est dans un excellent état avec probablement peu de navigations au compteur pour un prix très compétitif de 350€, le vendeur m’a expliqué qu’il y a moins de demande pour les flotteurs avec si peu de volume.
Le terme vintage est assez peu approprié car c’est mon JP Young Gun qui était clairement vintage avec son aileron unique et son shape daté. Il faudra que je me fasse à un shape qui m’a l’air très différent et 3 ailerons, même si de prime abord les dimensions générales sont plutôt proches (230cm de long, 55,5cm de large, 70l pour la JP et 224cm de long, 56cm de large, 69l pour la Tabou). Dommage que je ne l’ai pas eu plus tôt pour le tester dans les vagues bretonnes.
Dans une société qui se sécurise, je ne suis pas en reste et j’ai décidé d’installer 2, 3 caméras judicieusement disposées à des fins de vidéosurveillance et évidemment le tout doit marcher sous Linux. L’idée n’est pas de passer mon temps à les visualiser en temps réel, mais que le système de supervision détecte les mouvements anormaux et me renvoie une alarme.
On trouve sur un célèbre site de vente en ligne des caméras IP plutôt abordables, mon premier choix s’est porté sur la marque Reolink, mais j’ai été incapable de la faire fonctionner sous Linux et même sous windows ! Et rien n’est fait de la part de ce constructeur pour les utilisateurs linux, donc retour à l’envoyeur et je me rabats sur la marque Annke et ce modèle I51DL.
Dans un cas comme un autre ces caméras IP sont alimentées via le câble Ethernet (PoE Power over Ethernet) et cela nécessite un routeur ou un adaptateur particulier comme celui qu’on peut voir sur la photo ci-dessus de ce modèle.
Petit bémol, j’ai dû passer au moins une fois par windows pour l’activer avec le logiciel maison en fixant un mot de passe et l’adresse IP mais ensuite toute la configuration peut se faire d’un navigateur sous Linux en tapant simplement l’adresse IP dans la barre d’URL, comme on peut le voir sur ce screenshot pris sur mon poste Linux/Mageia 9.
La visualisation se fait simplement en tapant dans un shell
ffplay rtsp://admin:password@192.168.2.110
Côté logiciel, pour l’instant j’ai testé deux logiciels, zoneminder et motionplus, les deux permettant d’intégrer un large panel de caméras qu’elles soient distantes IP, Wifi, locales, analogiques ou numériques, de faire de la détection automatique de mouvement, de créer des événements. Ils sont basés également sur un serveur web et MySQL pour gérer les évènements, ils sont accessibles via un navigateur où il possible de les configurer, de visualiser en temps réel les caméras et de gérer les événements.
Zoneminder est considéré comme la référence opensource, mais il est de prime abord plus complexe avec beaucoup plus de fonctionnalités que motionplus plus simple et moins lourd.
J’ai créé une page dédiée sur mon site Funix où vous trouverez davantage de détails sur l’installation et leur utilisation. Cette page est appelée à s’étoffer au fur et à mesure de l’installation, de la montée en gamme et en perfectionnement de mon propre système.
Une icône fixe a fait son apparition sur le bandeau à droite de mon blog, un lien s’y cache qui pointe vers mon tutoriel de Kdenlive, l’excellent logiciel de montage vidéo libre qui tourne sous linux et windows.
Je l’ai revu de fond en comble, en mettant à jour les copies d’écran vers la dernière version 24.05.2 et en adaptant certaines descriptions. Il me reste à reprendre également le guide pdf téléchargeable.
Je vous invite à le consulter et à découvrir ce merveilleux logiciel.
J’ai récemment revu en profondeur mon réseau local qui jusqu’à présent avait l’architecture décrite dans ce post. Pour résumer en un simple schéma, cela donne quelque chose comme cela :
Internet arrive via la fibre sur une Box SFR qui est branchée sur un routeur TP-Link Archer C6 qui dessert mon réseau local (mentionné Réseau 1 sur le schéma ci-dessus) constitué de :
Un Lenovo ThinkCenter M92p utilisé comme serveur évoqué dans ce post. Il se nomme sur mon réseau ultra et tourne sous Mageia 9. Sur la photo ci-dessous on peut le voir sur la tranche à côté de la box SFR connectée en fibre optique et le routeur TP-link Archer C6 qui vient compléter les misérables fonctionnalités de la box et qui permet une bonne séparation des réseaux, le tout ondulé.
Un PC ACER Predator G3-605 processeur Intel Core i7-4790 16Go de RAM DD3, disque SSD de 256Go, 1+4To de disques SATA appelé predator, il est doté de Mageia 9. C’est ma station de montage vidéo avec kdenlive il est équipé d’un scanner Epson Perfection V30, c’est également mon PC de stockage multimédia avec une capacité totale de 22To avec son extension de disques Terramaster (17To sur 5 disques)
Je me suis équipé récemment d’une barre de son 5.1 et qui embarque tout un tas de technologies permettant de se croire au cinéma comme la spatialisation surround DTS Virtual X et son concurrent Dolby Atmos. Je me suis empressé de brancher mon mini PC Dell Dell Optiplex 7040 qui fait office de mediacenter avec kodi pour voir la différence. En visualisant un film et bien à vrai dire, c’est plutôt la déception, le son reste plat, même s’il bénéficie de plus de volume et de basse.
En fait ce n’est pas vraiment plug and play et il y a quelques manipulations à faire sur le PC pour prendre en compte ces technologies audio. Cela commence par la configuration de PulseAudio, on lance son utilitaire de configuration et dans l’onglet Configuration il faut pointer sur la sortie HDMI (puisque le PC est branché d’abord à la barre, puis la barre à la TV), il ne faut pas choisir les sorties HDMI multicanal 5.1 ou 7.1 même si la barre le permet.
Ensuite dans l’onglet Périphériques de sortie dans les options avancées, je coche toutes les cases liées aux différentes technologies audio disponibles.
Maintenant sous kodi, dans les paramètres système Audio en mode expert, je choisis le Dispositif de sortie audio correspondant à la sortie HDMI, pour Configuration de la sortie, je mets Meilleure concordance, je coche Mixage stéréo vers multicanal (même si j’ai un doute qu’il faille le faire, à tester).
Puis plus bas, je coche Activer le mode laisser-passer (Passthrough audio) et toutes les cases en dessous.
Et là, la différence est flagrante d’autant plus si on active sur la barre de son le mode Dolby atmos.
Maintenant concernant le format audio des films, on a essentiellement deux choix, le codec AAC et le codec AC3 (Dolby digital). Le premier est un très bon choix pour la qualité de son, alors que le deuxième a été pensé pour les sons surround même s’il est réputé fournir un son de qualité inférieure à l’AAC.
A l’occasion d’une reconfiguration totale de mon réseau que j’évoquerai dans un prochain post, j’ai été emmené à vouloir partager mes bases de donnée multimedia kodi et digikam d’un PC à un autre. Mes bases de donnée sont physiquement sur un PC de bureau Acer Predator doté d’une large capacité de stockage (22 To) mais particulièrement bruyant, pour cette raison sa place n’est pas vraiment dans le salon, j’ai donc fait l’acquisition d’un mini PC Dell optiplex 7040 silencieux branché à la TV avec l’objectif qu’il puisse accéder aux bases de données multimedia de mon PC Predator placé à une distance respectable dans une autre pièce.
Commençons par kodi qui, pour rappel est un mediacenter que j’utilise essentiellement pour visualiser mes films.
La première chose à faire est d’exporter la base de donnée de kodi vers un serveur MySQL, en l’occurrence vers mon serveur mini PC Lenovo Thinkcenter sur lequel tourne déjà un serveur MariaDB. On crée ensuite le fichier ./kodi/userdata/advancedsettings.xml contenant
Maintenant pour utiliser cette base de données sur d’autres machines avec d’autres utilisateurs, il suffit de copier le fichier advancedsettings.xml dans le répertoire userdata de l’autre utilisateur d’une autre machine. Il faudra également copier le fichier Textures13.db sous userdata/Database et le répertoire complet userdata/Thumbnails. Ce n’est pas tout, si vos fichiers de votre PC initial se trouvent sur le disque /germaine/video/Films, sur les autres postes clients ce répertoire doit être partagé par montage NFS aux autres postes et doit être configuré tel quel en tant que source sur ces mêmes postes. Attention vous devez veiller à avoir la même version de kodi sur chacun des postes où la base est partagée pour éviter des conflits et des problèmes éventuels. La manipulation est décrite plus dans le détail sur cette page.
Passons à digikam maintenant qui est certainement le gestionnaire open source photos de référence (voir mes posts dans l’ordre chronologique là, là et ici).
De la même manière, sur le PC de référence on exportera la base dans une base de données MySQL. Sur l’autre poste, on veillera à avoir exactement la même version de digikam et on configurera l’accès à la base de donnée qu’on a configuré préalablement sur le poste de référence.
Dans Collections, comme pour kodi, le répertoire contenant les photos du PC de référence doit être identique et partagé par montage NFS et le chemin doit être identique. Ce n’est pas fini, car en consultant via phpMyAdmin l’entrée albumroots on voit que le répertoire contenant les photos est identifié par son uuid comme cela volumeid:?uuid=35f2d2e0-f3f0-4bc1-a045-b7eb45261962&fileuuid=f5da6cf3-983b-4c9e-bced-ba341864e317. Du coup sur l’autre poste les photos sont inaccessibles. Sous phpMyAdmin, on tapera la commande SQL suivante :
UPDATE AlbumRoots SET identifier='volumeid:?path=/germaine/sauvegarde-mana/photos', specificPath='/' WHERE id=1;
On mentionnera bien sûr le chemin commun du répertoire contenant les photos.
J’ai enchaîné une série de trois sorties de windsurf depuis vendredi dernier en laissant passer le coup de vent d’aujourd’hui avec ses claques à plus de 100km/h sur le spot et ses trombes d’eau. Deux sorties par vent d’ouest du côté du spot de l’Almanarre avec mise à l’eau aux Estagnets et une hier sur le spot de la Bergerie par vent d’est, de quoi faire tourner mon quiver de petites voiles de 3.4 à 4.7 en passant par la 4.2.
Pour rappel je tiens à jour le journal de mes sorties windsurf sur cette page.
J’en ai profité pour faire un court montage avec la dernière version 24.02 de kdenlive qui tourne toujours sous KF5/Plasma5 bien qu’elle soit plutôt dédiée pour KF6/Plama6.
Accessoirement j’ai mis à jour mon tutoriel kdenlive en rajoutant quelques fonctionnalités supplémentaires de la dernière version.
Je profite de l’installation de la version 23.08.5 de kdenlive qui apporte surtout des corrections de bogue pour faire le montage d’une sortie au trou d’eau à la Saline les Bains sur l’île de la Réunion. Le trou d’eau est le nom d’une plage à la sortie de la Saline les Bains sur la commune de Saint Paul, mais on ignore souvent qu’il faut prendre le terme trou d’eau au pied de la lettre. En effet sur le parking de la plage, on trouve un petit espace protégé par une barrière avec un discret panneau « le trou d’eau ».
Il prend toute sa signification quand on franchit la porte de la barrière et qu’on descend plus bas, on tombe sur une cavité immergée qui est en fait un tube de lave noyé d’eau qu’on peut parcourir sur plus d’une centaine de mètre à la nage vu qu’on n’a pas pied. La lampe frontale est requise car c’est totalement obscur. Cette courte vidéo donne une idée de l’expérience qui peut être assez angoissante.
Après mon post pour taguer les fichiers audio via via une interface graphique, voici le complément pour taguer les fichiers en ligne de commande avec l’outil beets avec quelques scripts utiles. Beets est un outil écrit en python qui tout comme MusicBrainz Picard permet de taguer automatiquement les fichiers audio à partir de la base de données musicales de MusicBrainz. Rappelons que MusicBrainz est une vaste bibliothèque musicale totalement libre qui collecte des métadonnées musicales que tout un chacun peut alimenter.
Beets utilise une base de données locales où sont stockées les métadatas par fichier audio, les mêmes métadatas peuvent être enregistrés dans chaque fichier. Je l’ai installé sur ma mageia 9 tout simplement en tapant pip install beets
Le fichier de configuration se trouve sous /home/olivier/.config/beets/config.yaml et contiendra a minima
directory : /anatole/beets-music #le répertoire contenant les fichiers audio qui seront copiés ou déplacés
library: /anatole/beets-music/music-database.db #la base de données
import:
copy: no #si yes les fichiers audio modifiés seront copiés dans le répertoire défini plus haut
move: no #si yes les fichiers audio modifiées seront déplacés dans le répertoire défini plus haut
write: no #si yes les métadatas seront enregistrés dans le fichier, si no elles seront seulement enregistrées dans la base de données
Maintenant pour importer des fichiers audio, il suffit d’indiquer le répertoire où se trouvent les fichiers audio en tapant beet import -s /anatole/musiques/classement\ par\ genre/rock
L’option -s pour singleton permet de traiter chaque fichier comme une piste indépendante, sinon par défaut il va considérer que toutes les pistes du répertoire font partie d’un unique album. Le traitement va se lancer de manière plus ou moins automatique, quand il identifie sans ambiguïté un fichier audio, on va avoir quelque chose comme cela
/anatole/musiques/classement par genre/rock/ACDC - hell bells.mp3
Tagging track: AC/DC - Hells Bells
URL:
https://musicbrainz.org/recording/5da479ac-3b98-43f6-88d8-6afeb9ccfcc7
(Similarity: 100.0%)
/anatole/musiques/classement par genre/rock/ACDC - highway to hell.mp3
Tagging track: AC/DC - Highway to Hell
URL:
https://musicbrainz.org/recording/5935ec91-8124-42ff-937f-f31a20ffe58f
(Similarity: 100.0%)
/anatole/musiques/classement par genre/rock/ACDC - Let Me Put My Love Into You.mp3
Tagging track: AC/DC - Let Me Put My Love Into You
URL:
https://musicbrainz.org/recording/69de4ab7-bfce-424e-b109-d96b34801516
(Similarity: 100.0%)